L'Hebdo, 4 novembre 2004
Dans le journal Entreprise, [on] raconte l'histoire d'une personne qui veut ouvrir un laboratoire concernant une profession de la santé. Il écrit au médecin cantonal qui répond que la profession n'est pas soumise à la loi: «Vu ce qui précède, nous ne pouvons ni interdire, ni autoriser l'exercice de votre profession.» En conclusion, il y a des choses qui ne sont ni interdites ni autorisées. C'est sans doute là que se trouve notre dernier espace de liberté. ■ Eric Felley
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