Le syndrome de Stockholm est un comportement paradoxal pourrait-on dire [...]. C'est un renversement de situation au cours duquel la ou les victimes prennent parti pour leurs agresseurs. Il tire son nom d'une prise d'otages qui eut lieu en Suède en 1973 lors de laquelle les otages finirent par manifester de la sympathie et même une pleine confiance envers leurs kidnappeurs. Ils allèrent jusqu'à s'interposer entre les forces de l'ordre et les ravisseurs lors de leur libération et refusèrent de porter plainte et de témoigner. Enfin, et c'est là un exemple particulièrement démonstratif, l'une des victimes épousa son ravisseur quelques années plus tard.
Maxime Chattam, L'âme du Mal, Michel Lafon, 2002
Le syndrome de stockholm est possible uniquement quand les motifs des kidnappeurs, preneurs d'otage sont "justes". Ca me rappelle un film basé sur une histoire vraie avec denzel washington : "john Q".
Un jeune père noir prend un hopital en otage pour essayer de sauver la vie de son fils qui a besoin d'une greffe urgente...ses victimes ont compati et coopéré avec lui.
Rédigé par : Osmany | 09.04.2006 à 13:17